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Faire et des Faires
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×1 Younès Rharbaoui : Tomber dans le ravin et rebondir 1:07:56
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1:07:56Il y a un peu plus de 3 ans, TheFamily lançait le programme Lion. Je suivais toutes leurs actualités et je rêvais d’intégrer ce programme. J’ai ouvert 150 fois le Google Form pour m’y inscrire. Je l’ai refermé 149 fois. La dernière fois, je l’ai rempli en entier. Il était prêt à être envoyé. Mais c’est moi qui n’était pas prête : j’étais persuadée que je ne serais pas prise. Je me suis donnée 2 ans pour rebondiret intégrer le programme. Il ne m’aura fallut qu’1 an pour y parvenir. Je me souviens avoir préparé plusieurs versions de ma candidature. Je les ai même déposées dans un Google Doc pour les faire relire à des amis qui avaient fait le programme pour être certaine de ne pas écrire des bêtises. Passée la n-ième relecture, hop, le formulaire est envoyé et j’attends la réponse. Quand j’ai reçu le mail de bienvenue, j’ai sauté partout dans l’appartement. Je tombais dans les bras de mes colocataires. On aurait dit que je venais d’apprendre que j’avais gagné au loto. C’est comme ça que j’ai rencontré Younes : c’était lors d’un talk qu’il donnait pour Lion. A ce moment là, il travaillait pour The Familyà Londres. Si son intervention m’a marquée, c’est parce qu’il nous racontait qu’il se passionnait pour les initiatives qui mêlaient l’art et l’intelligence artificielle. Cette association d’idées m’avait étonnée à ce moment mais surtout, elle m’avait plue. Je commençait à comprendre ce qu’on nous disait chez Lion : toujours apprendre pour pouvoir créer des associations d’idées qui font naître de nouvelles connexions, et donc, des nouveaux concepts. Il s’agissait de rebondir : sur soi, sur ses connaissances, sur l’existant, sur l’imaginaire et voir jusqu’où on ça allait nous porter. J’ai revu Younes il y a quelques mois. Depuis le talk, il était revenu à Paris. Il avait produit beaucoup de contenu, donné des cours, épaulé Alice Zagury dans ses travaux pour la loi Pacte, puis rejoint Lion. Tout ça en quelques mois. Mais ce n’était pas tout. Une campagne de crowdfunding venait d’être clôturée : des dizaines d’exemplaires d’un livre qui n’existait pas — encore — avaient été vendues. Ce serait à Younès Rharbaoui et Annabelle Bignon de l’écrire. C’est comme ça qu’est né le Livre de la Jungle, le guide parfait pour appréhender le fonctionnement des startups de l’intérieur et y faire sa carrière. Dans l’épisode, je demande à Younes comment il fait pour passer aussi vite d’un job à un autre, de l’acquisition d’une compétence à une autre, d’un projet à un autre. “Il faut rebondir” Alors je vous invite à écouter les conseils de Younes pour s’adapter, pour faire fasse à l’adversité et en tirer le meilleur. On parle aussi de son état d’esprit quand il investit dans une startup, de ce qu’il fait aujourd’hui chez Lion, de création de contenu et bien sûr, de la fabuleuse histoire de la naissance du Livre de La Jungle. Merci encore à toi Younes pour ton temps et tes histoires. Bonne écoute et ne ratez pas les prochains épisodes en vous abonnant : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/faire-et-des-faires/id1392311746 REFERENCES : Livre de La Jungle.L'art poétique (Chant I) de Boileau Loi PacteLionTheFamilyYounesCompétence T-shapeL'article de Ben Thompson…
** N'oublie pas de noter Faire Et Des Faires 5 étoiles si tu as aimé l'épisode, ça m'aide énormément. Merci beaucoup ! ** https://podcasts.apple.com/fr/podcast/faire-et-des-faires/id1392311746 https://medium.com/@alicecaillet https://www.instagram.com/aliceismadeinfrance/ Si l’on se rencontre, vous et moi, vous apprendrez rapidement que je viens d’Auvergne. Ça n’a l’air de rien, mais j’ai fait de mon origine géographique un véritable élément de ma personnalité. Je développe une fraternité immédiate avec tous les auvergnats qui ont quitté leur terre natale, peu importe où je les rencontre. Je défends bec et ongles qu’il y a bien plus de vaches que d’habitants dans ma région, et qu’il s’y passe plein de choses. Et puis je nargue les parisiens en leur rappelant que les brasseries les plus rentables de la capitale sont souvent tenues par des auvergnats. Pourquoi ? Parce qu’ils sont radins, comme le dit le cliché. Et moi, ce cliché, je l’aime bien. Je ne suis pas radine. Non. je suis économe, comme on dit chez moi. C’est différent. Mais je n’ai pas acquis le gène de l’auvergnaterie (comme l’ont affectueusement surnommé mes amis), derrière le zinc, mais plutôt en apprenant à jouer au Monopoly, avec ma Mamie. Grâce au Monopoly, elle m’a a pris à compter, à être stratège, à négocier, à gérer son argent, à être fairplay … Et même si son enseignement n’était pas assez abouti pour me faire véritablement aimer la compta, il me sert tous les jours à économiser et à dépenser raisonnablement. Évidemment, ce ne sont pas les seuls enseignements que j’ai reçu d’elle. J’admets que je n’en ai, de toute façon, pas dressé la liste. En revanche, quand j‘ai commencé ma vie professionnelle, je me suis dit que je ne savais pas grand chose de la sienne. Peut-être que j’aurais des choses à apprendre ? Peut-être que ça m’aiderait à mieux comprendre les codes de l’entreprise ? Peut-être que ça m’aiderait à mieux la comprendre elle ? Alors, j’ai profité d’un séjour sur ma terre natale pour lui poser des questions, micro en main. Cet épisode m’a permis de remonter le temps pendant 45 min. Je me sentais vraiment comme dans un vaisseau, à regarder une société à la fois familière et étrangère, prendre vie sous mes yeux grâce aux mots de mon guide, ma grand-mère. Ça m’a permis de prendre du recul sur les codes et les systèmes en place. Bien sûr, je pense toujours que la majorité des entreprises ont des systèmes organisationnels dysfonctionnels. Mais je comprends mieux d’où ça vient et je comprends que je n’aurais surement pas eu le même avis 50 ans plus tôt. En somme, j’ai compris qu’il ne fallait pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Et au-delà des apprentissages professionnels, j’ai surtout adoré ce moment de discussion poussée avec ma grand-mère. C’était l’occasion de prendre 1h ensemble, assises à la table de sa cuisine, rien que toutes les deux. Elle m’a vu déballer mon matériel, fil après fil, micro après micro. Elle n’est plus très étonnée de ne pas connaître tous les objets que ses petits-enfants manipulent. Mais elle a toujours cette curiosité dans le regard qui analyse ce qu’il se passe. Je ne sais pas si elle était intimidée, mais moi, je l’étais un peu. Et ça n’était pas le contexte de l’enregistrement qui me troublait, c’était plutôt celui de la singularité du moment que l’on s’apprêtait à vivre, du moment qu’elle m’offrait. Elle n’est pas éternelle, et je suis très heureuse d’avoir cet épisode à portée d’écoute pour que sa présence me fasse reprendre la machine à remonter le temps de mon enfance. Je te conseille grandement de d’enregistrer, toi aussi, des conversations avec tes grands-parents. Si tu te lances, n’hésite pas à m’en faire part à faireetdesfaires@gmail.comou à me tagguer sur tes réseaux sociaux. On se retrouve dans 2 semaines pour un nouvel épisode. 😊…
Quand j’étais petite, j’ai d’abord voulu être paléontologue, puis archéologue, égyptologue, écrivaine, dresseuse de chiens guides d’aveugles avant d’être perdue. Aujourd’hui, je travaille au sein de l’équipe support d’Alan. J’ai beau m’y sentir très bien, ça reste très éloigné de mes rêves d’enfants. Léa, depuis qu’elle a rencontré l’univers du vêtement dans son enfance, elle n’a laissé personne la dévier de sa route. Vous l’entendre dire dans l’épisode, qu’un jour elle a répondu à une des ses profs au lycée : “Mais moi je m’en fiche je ne veux pas aller en prépa je veux faire de l’Art” C’est cette détermination qui lui a permis de monter sa propre marque : Les Sauvageonnes. Le tempsCe qui m’a beaucoup intéressé dans mon échange avec Léa, c’est la notion du temps. Son rêve avait perduré dans le temps. Mais, avec le temps, son rêve a aussi changé : elle qui rêvait de haute couture, elle a finalement préféré s’orienter vers le prêt-à-porter éthique et responsable. Elle a mis du tempspour mûrir son projet, en rêver, en parler puis le réaliser. Il lu a d’ailleurs aussi fallût du temps et des effortspour acquérir toutes les compétences dont elle avait besoin pour lancer sa marque. Aujourd’hui, les vêtements que Léa crée sont aussi là pour durer dans le temps. Et au-dela de ses créations, c’est toutes ses compétences et son rapport rapport au vêtements éthique et responsbale qu’elle transmetvia ses ateliers. On est loin de la frénésie ambiante du toujours plus rapide, plus grand et plus fort. Léa m’a rappelé qu’il faut du temps pour que nos grands projets naissent et tiennent bon, qu’il faut du temps pour être un petite sauvageonne dans les bacs à sable et devenir entrepreneure. Et ça, moi, ça me rassure. Ça me donne de l’espoir. Votre rapport au vêtement ? Léa évoque la représentation des corps sur Instagram. Elle parle de ceux des femmes puisqu’elle crée des vêtements pour elles, mais, à vrai dire, ce sujet concerne tout le monde. Ressentez-vous le poids du conformisme vis à vis de vos vêtements ? En d’autres termes, lorsque vous vous habillez, lorsque vous essayez des vêtements ou lorsque vous les portez, entendez-vous une petite voix qui juge si oui ou non, ce vêtement convient aux normes au lieu de juste vous plaire ? J’aimerai beaucoup lire vos expériences dans les commentaires de l’article et nourrir, grâce à eux, ma réflexion sur le sujet. Rendez-vous ici : https://medium.com/@alicecaillet Merci à Léa de m’avoir reçue dans La jolie boutique Les Sauvageonnes au 10 bis rue Lamartine Paris 9. C’est là qu’on aussi lieu ses ateliers. Vous pouvez vous y isncrire juste ici : https://www.les-sauvageonnes.fr/ateliers Et si vous voulez contacter Léa, c’est par ici : lea@les-sauvageonnes.fr Suivez moi aussi sur Instagram : https://www.instagram.com/aliceismadeinfrance/…
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